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jacob elliot gray ♠ ne jamais dire jamais

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Jacob Elliot Gray
Jacob Elliot Gray
Don't teach me how to lead ♥ I'm an Admin

♦ MESSAGES : 38
♦ BIRTHDAY : 03/09/1994
♦ INSCRIPTION : 08/03/2010
♦ ÂGE : 29

Raconte moi une histoire.
studying: Photographie
in my heart:
à savoir sur moi:

jacob elliot gray ♠ ne jamais dire jamais Vide
MessageSujet: jacob elliot gray ♠ ne jamais dire jamais jacob elliot gray ♠ ne jamais dire jamais EmptyLun 8 Mar - 6:20


Jacob Elliot, GRAY




ID CARDINFOMATIONS

▪️ prénom(s) : Jacob Elliot
▪️ nom : Gray
▪️ âge : 20 ans
▪️ taille : 183. cm
▪️ poids : quelle impolitesse!
Je suis Jacob Elliot Gray, originaire de Oslo en Norvège. J’étudie photographie à l’université de chicago. Je fréquente ainsi la confrérie bêta. Je suis un mec bi célibataire. Si j’avais à me décrire en un mot, je dirais libertin.
ID PHOTOCARRACTÉRISTIQUES
jacob elliot gray ♠ ne jamais dire jamais Luke-worral-10178-100x100
DESCIPTION PHYSIQUE : Beau, blond, grand. Déjà, il était bien, très bien partit.
CARACTÈRE : (6 lignes)
FAMILLE :
PEA AMANDA GRAY; Sa mère. Elle lui a donné la vie, la liberté, mais rien d'autres. Bien sur, elle lui permit de faire le tour du monde, mais ce n'était pas le rêve de Jacob et elle s'occupa peu de lui plus jeune, elle le laissa même quitter le nid familial à 12 ans. Mère indigne? non, pas forcément. Mère mal-éduquée? certainement. Surprotégée comme 321, elle ne put pas s'empêcher d'essayer de donner la liberté qu'elle n'avait pas eu à son fils, peut-importe les conséquences que cela pouvait avoir sur lui. Elle est Franco-allemande.
CALEB SIMON GRAY; Son père. Il est pareil comme sa mère, un enfant mal aimé. Il a vécu ses seize premières années à l'orphelinat de Liverpool. On pourrait dire que Jacob et Caleb n'ont vraiment - physiquement - aucun point en commun, sauf peut-être leur taille et leur structure osseuse, mais tout ce que l'on remarque, au premier regard, vient de sa mère, les cheveux blonds, les yeux bleus, tout. Il est certain d'avoir des origines anglaises, et selon la sage femme qui l'aurait mis au monde, son père serait Belge, mais il n'en est pas certain, il n'a jamais vu ses parents.
CLAUS WALDMANN; Son grand père, il est décédé, mais a eu une grande importance dans sa vie, même si la seule fois où il le vit, il était en train de perdre la vie. C'est grâce à lui que Jacob pu arrêter son tour du monde et vivre une vie normale, comme il le souhaitait. Claus et Jacob se ressemblent énormément, physiquement, mais aussi mentalement. à l'âge de Jacob, Claus était un jeune homme plein de vie qui vivait pour ses passions, qui vivait pour Amanda.
AMANDA WALDMANN; Sa grand-mère maternelle. Une française qui fugua, en quête de liberté. Elle la trouva, pour peu de temps, en Allemagne, mais vite, elle trouva mari et s'engagea dans une vie stricte. Son pire cauchemar. Elle ne resta pas dans cette vie trop longtemps, elle s'enleva la vie, quelques jours après la naissance de sa fille, Pea. Elle a tout de même un rôle déterminant, c'est elle, qui donna le goût de la liberté à sa fille, qui embarqua par la suite dans sa folle aventure.
PAULA TAYLOR; Sa maman numéro deux. C'est elle, qui le prit sous son aile quand il décida d'arrêter de voyager, et de vivre aux états unis. Elle est pour lui comme une seconde mère, car elle lui inculpa quelques limites, mais pas trop, elle n'était qu'une mère d'accueil après tout, et il était déjà ado.
ALFIO TAYLOR Papa #2 (monsieur italie)
ANDREA TAYLOR la petite peste
MARY PETERSON Grand-mère inconnue
ÉTUDES : (3 lignes)


MY FUCKING HISTORY


    ME, MYSELF AND I :
    une petite ville de France, 13h 58, le 4 mai 1962

    « Maman. Cette vie ne me convient tout simplement plus, partir, c'est tout ce que je veux. ici, je n'ai plus d'attaches. N'ai pas peur d'ouvrir la porte de ma chambre, je ne suis pas pendue, encore moins ensanglantée, je n'aurais jamais eu le courage de toute façon. Je vais partir, où? je n'en aie encore aucune idée précise, mais je pars. L'allemagne me tante, énormément même. Ne pleure pas, ce n'est pas toi le problème, c'est seulement que je ne supporte plus d'être enfermée, ici, entre quatre mur trop droit.

    Ta fille, Amanda.»

    Elle partait, ça en était certain. Elle n'eut pas de mal à se rendre en Allemagne, avec toute la monnaie qu'elle avait économisé, Amada n'eut aucun mal à s'acheter un billet de train, et les passagers avaient été très gentil, sans parler des employés... Ouf! Elle avait même réussit, grâce à quelques clin d'œils au serveur du wagon restaurant à récupérer quelques adresses, où elle pourrait être hébergée, la joie! Ses début à Berlin furent corrects, pour une adolescente sans famille, ne parlant que le français. Elle vécu quelques mois dans une famille française là bas, ils s'étaient installés là bas pendant la deuxième guerre, le père de la famille, un allemand à l'origine, avait voulu aider la résistance, mais ils n'avaient pas eu le temps de défaire leurs bagages que la guerre ce terminait, laissant la vie sauve à toute la famille. Une histoire beaucoup trop complexe pour Amanda. Après avoir appris les bases de la langue allemande - les bases étant tout, sauf les exceptions grammaticales que la plus part des allemand ne maitrisaient eux même pas, Amanda était une fan de grammaire, c'était donc, pour elle, des bases - elle commença à travailler, dans un café et se prit un appartement, dans un quartier correct.

    Berlin, le 16 mars 1963.

    Claus venait de gagner. Une simple partie de billes, mais il avait gagné. Son meilleur ami devait lui payer un café, c'était le paris. Il était blond, très blond. Des yeux bleus, perçant. Il ne pouvait pas le nier, il était allemand, aussi allemand que Drago Malfoy un serpantard. Ils entrèrent dans le café, et le temps s'arrêta. Elle était belle, chataine, grande, belle. Il se pinça exactement treize fois. Ils s'assirent, son ami parlait, Claus s'en foutait, elle était beaucoup trop jolie. Elle vint prendre leurs commandes, elle avait une belle voix et le plus joli des accents possibles. Au lieu de demander un café, il lui demanda de le rejoindre son quart de travail terminé, elle lui dit oui et cupidon les poussa dans un filtre d'amour. Elle avait 16 ans, lui 18, elle était française, lui allemand. Ils se marièrent le jour des 18 ans de madame Amanda, elle eu un enfant 9 mois plus tard. Amanda mourut vingt jours après la naissance de sa fille.

    « Claus, je n'en pouvais plus. De rester enfermer ici, entre ses murs. Avoir un enfant n'était pas mon rêve, épouser un homme aussi merveilleux que toi encore moins... Je t'aimais trop. Mon pire cauchemars est devenu réalité quand je t'ai rencontrer, au café. J'avais quelqu'un qui me retenait, ma liberté était brimée, je ne pouvais pas m'enfuir sans te briser le coeur, ou encore, sans avoir cette envie de revenir. Notre mariage a été un autre clou au cercueil, que tout le monde, même dieu soit au courant de notre amour... il m'empêcherais de partir, je devrais rester, collée à une personne précise, et... je ne pouvais pas rester. Le bébé à été la terre, qui m'a ensevelit. L'annonce de ma grossesse à été pour moi... le pire moment de ma vie sur cette terre. Une autre personne a qui s'attacher. Je l'ai porter jusqu'à ce que la vie la libère de moi... mais je ne peux plus. Je me suis libérée, aujourd'hui, de toute attache. Va voir le bébé en premier, elle doit avoir faim. Ensuite, appelle le médecin, et dit lui d'ouvrir la porte de notre penderie, il m'y trouveras, totalement libre. C'était la meilleure façon, comme cela, je ne peux pas faire marche arrière. Je n'ai jamais été faite pour être mise en cage.

    à toi pour l'éternité, Amanda.

    Claus ouvrit la porte de la penderie, et trouva Amanda, pendue. Elle était beaucoup plus courageuse qu'elle le croyait au départ.


    Liverpool, 12 Avril 1965

    Mary, une jeune anglaise donnait naissance à son premier garçon. Elle avait un accouchement plutôt difficile, elle était seule, avec la sage femme. Pas de mari, pas de parents. Son enfant était le fruit d'un jeux aillant été trop loin, au courrant d'un voyage en Belgique. Ses parents l'avaient renier après l'annonce de cette grossesse malsaine. Mais elle l'avait aimé, sûrement, cet homme, beau, grand, brun. Lui, devait seulement la trouver jolie et jeune. Le bébé pointa son nez à 22 heures 03. Elle n'avait jamais aimer quelqu'un comme ça. Elle ne le prit pas dans ses bras, le donna seulement à la sage femme, qui lui fit signer quelques papiers. Le lendemain, le poupon était visité par quelques couples, qui cherchaient à l'adopter. Sa mère était partie, en Grèce selon la sage femme que le petit interrogea plus tard. Il ne trouva pas de famille, après tout, les familles étaient déjà très grandes à l'époque. Il fut donc élevé à orphelinat, qu'il détestait profondément. Il l'appelait la prison à enfants, et il avait bien raison. Il fut libéré à 16 ans, il ressemblait énormément à son père, mais avait les cheveux noirs corbeau de sa mère. Sa mère, elle le hantait, il voulait la connaître, qu'elle lui dise qui était ce salopard qui lui avait détruit la vie, qu'il puisse se venger un peu.

    12h22, le 2 juillet 1983.

    La plage, le soleil, la mer... c'était le paradis. Pea marchait sur le litoral, essayant d'échapper au regard de son père, qui ne cessait de la surveiller. Elle soupira. Il avait toujours été aussi protecteur, et cela avait toujours énervé Pea. Mais bon, il avait peut-être peur de la perdre, comme il avait perdu sa femme, 16 ans plus tôt. Peut-être que c'était pour cette raison précise que sa mère était partie, sûrement. Personne ne peut vivre en cage. Son père regardait plus loin, occasion en or pour se cacher et partir à l'aventure un peu. Elle courut vers un grand rocher, regardant toujours son père et tomba. Paf, dans un inconnu. Quand Pea reprit le contrôle de tout ses sens, à peine quelques secondes après sa chute, elle vit un bel homme, grand, avec de magnifiques yeux bruns et de courts cheveux noirs. Il l'aida à ce relevé, et se présenta, en anglais. Pea était toute heureuse, ses cours particuliers lui seraient utiles, pour une fois.

    - Caleb, Caleb Gray. Pas trop mal?
    - Pea, Pea Waldmann. ça va. Très beau nom de famille en passant.
    - Enfait, c'est plutôt un nom d'emprunt, ils ne savaient pas mon vrai nom de famille, donc m'on donner le premier qu'ils ont trouver dans une liste.
    - Ils?
    - Les soeurs, à l'orphelinat à Liverpool.
    - Oh Liverpool est une ville merveilleuse à ce que j'ai entendu dire, j'adore les Beatles. Mais, l'orphelinat est horrible, selon moi, une genre de prison à enfants.
    - J'adore aussi les Beatles, je suis triste que John soit mort... j'aurais jamais eu la chance de les voir en spectacle... Tu sais quoi, j'ai la même vision est orphelina que toi, mais bon, quand on nait sans famille... c'est toujours mieux qu'être seul, des heures, parce que tes parents t'on abbandonés.
    - Ma mère c'est suicidé quand j'avais vingt jours, elle m'a laisser pleurer, mon père est rentré tard ce soir là... Mais bon, j'en ai aucun souvenir.
    - oh, désolé pour toi.
    - non, ça va, je la comprends, elle ne devait probablement pas pouvoir faire grand chose, mon père est toujours à mes trousses, je me dis que ça devait être la même chose avec elle.
    - Ça, c'est comme l'orphelina, mais toi, en plus, tu vois les gens être libre.
    - Exact, toi par exemple, tu peux partir quand tu veux.
    - Oui, aujourd'hui, je peux. Toi aussi tu peux d'ailleurs, tu n'as qu'à le vouloir.
    -mon père ne voudrait pas.
    - Ton père oublis le.
    - Bonne idée, mais je ne peux pas, il a besoin de moi.
    - Mais moi, j'ai besoin d'un compagnon de voyage.
    - Aller où?
    - N'importe où, sauf ici. J'ai beau chercher partout, pas de trace de ma mère, ce rocher était le dernier endroit.
    - Pas en allemagne, je ne supporte plus.
    - Alors, l'Australie?
    - Bonne idée, on pourra faire un tour en Pologne un de ses jours?
    - On peut faire le tour du monde si tu veux.

    Il passa sa main dans les cheveux blonds de Pea, plongea son regard dans ses yeux bleus et l'embrassa. Vite fait, mais il n'y pouvait rien. Elle était tellement... tout. Le manque d'attention des dernières années de sa vie n'y étaient pour rien, il en avait seulement envie, très envie. Elle lui répondit. Elle en avait autant envie que lui. Il repérsentait pour elle la clef de la liberté, un passeport pour le monde. Le soir même, elle écrivit un mot à son père et parti avec Caleb pour n'importe où, la plus belle destination du monde. Ils firent un tour en australie, puis en pologne. Gagnant leur vie en important toute sorte de produit et en se faisant actionnaires de pleins de trucs, dont une petite compagnie de téléphonie sans fil, une utopie à l'époque, mais qui grandit et les mis plus riches que jamais, il faut dire qu'ils n'avaient jamais été bien riches. Et puis, un jour où ils étaient en Suisse, dans une clinique médicale - Pea ce sentait mal depuis quelques semaines - ils apprirent qu'ils allaient être parents. S'arrêter? non, jamais. Ils continuèrent a voyager, libres, jusqu'à deux mois avant la naissance du bébé. Ils choisirent la norvège, pour mettre le bébé au monde. Il naquit dans des conditions idéales, et ils lui donnèrent le nom de Jacob Elliot Gray, le bébé le plus libre du monde.

    Les premières années de Jacob furent difficiles, il n'avait pas vraiment de repères, changeant de pays autant de fois que de couches. Il n'allait pas à l'école, et apprenait avec ses parents. Ne pouvant se faire d'amis à l'école, son seul amis stable étant un appareil photo acheté par ses parents pour le tenir occuppé, il dut socialiser avec les enfants qu'il rencontrait, leur dire au revoir et se faire d'autres amis. Ça le rendit sociable, mais tout aussi déséquillibré. À huit ans, il commença a demander à ses parents s'ils pouvaient avoir une vie normale. Non. Pourquoi brimer leur liberté pour une seule personne? la majorité l'emportait. Ils continuèrent l'interminable voyage. Puis, un jour, Pea appella son père, comme elle s'obligeait à le faire, une fois par semaine. Il allait mal, très mal. La mort le guettait. toute la famille se rendit en allemagne, pour la première fois. Les dernières paroles de son père furent pour Pea, il lui demandait d'arrêter, pour Jacob. Non, ils ne s'arrêteraient pas, mais Jacob oui. Il voulait vivre la vie de prisonier, comme Pea et Caleb plus jeune, il était libre de le faire. Ils demandèrent au garçonet, de douze ans à l'époque, où il voulait s'arrêter. Les États Unis. Il avait aimer les États, chaque fois qu'il les avait visités. Après quelques coups de fils, ce fut décidé, il irait vivre chez une amie de la famille, qu'ils avaient justement rencontrer là bas. Deux semaines plus tard, Jacob disait au revoir à ses parents. Ils se reparleraient, une fois par semaine.

    Jacob adorait sa nouvelle vie. L'école, c'était merveilleux, plein de gens qui ne partaient pas. Il voulait tous les connaître, un par un. Malgré son éducation casanière, il n'avait aucun retard, même de l'avance, surtout au niveau des langues, il parlait parfaitement Allemand et Anglais et très correctement plusieurs autres.

    A 14 ans, il fut invité à ses premières fêtes. Il découvrit l'alcool, la drogue et le sexe. Une grande découverte, merveilleuse, selon lui, presque autant que l'appareil photo. Il se fit dépucellé un mardi, par Jenna, une fille de 17 ans qu'il avait rencontré durant une fête chez Drew Smith. Elle était tellement jolie. Le lendemain, il se réveilla dans ses bras. Sa première vraie petite amie. Mais ça ne l'empêcha pas de se retrouver dans le lit de l'organisateur même de la fête le Jeudi. Il adora ses expériences, les deux toutes autant. Il sortit avec Jenna trois mois, la naïve ne remarquait même pas les petits coups qu'il donnait au frère de celle-ci pendant les dînés famillaux, ou encore l'absence qu'il causait dans son lit quand il rejoignait le grand frère dans le sien. Mais après un temps, Jacob se lassa d'être toujours avec la même fille, il voulait bien essayer d'autres modeles, goûter a un peu plus de liberté. Il la laissa et fit cavalier seul, un long moment, d'ailleurs, il est toujours célibataire, mais rarement seul dans son lit, il faut le dire. Puis vint l'université... où pouvait-il bien s'inscrire. Chicago. Ouais. Pas mal, ils avaient un beau programme en photographie. Jacob fut accepté très facilement.

    Il y vit toujours. Ses parents eux, sont sûrement en mongolie ou en russie, peut importe, trop loin pour surveiller leur fils qui parfois, aurait bien besoin d'être corrigé.

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